Wednesday, April 23, 2008

Wednesday, April 16, 2008

SHEFKI HYSA
Une remarquable individualité créative

Pour sa famille et pour lui

Il est né à Ersekë le 20 Juillet 1957 dans une famille d’intellectuells.
Son père, Mazar, était un professeur pour la minorité vlleh à ce temps et suivait leur déplacements pastorales, en passant l’été dans la montagne de Gramozit dans la région de Kolonje, avec Erseka comme centre administrative, et en attendant l’hiver à Saranda, étant toujours si tant préoccupé de l’éducation des enfants des bergers.
Toute sa famille habitait à Shalës, au Konispol.

La mère de Shefki, Bahrieja, était une mère de famille qui suivait son mari dans ses voyages pour s’occuper de la famille.

Shefki appartient a une vieille famille patriote résidente a Shales au Konispol dans le 18-éme siècle, peut-être dans la période de l’influence musulmane de cette région, puisque elle est estimé en tant que l’une des sept premières familles fondatrices du village de Shales, selon la mémoire populaire. Notamment elle était une riche famille, ils s’occupaient d’élevage et d’agriculture, propriétaire de plusieurs bois, pâturages et terres cultivées, par conséquence ils seraient des vrais patriotes et ils allaient protéger jusqu’au dernier sang leur maison, La Patrie – Tchameri, des intentions annexionnistes et d’occupation de la Grèce.

Le grand-père de Shefki, le patriote connu Shefki Hoxha (ils étaient des religieux depuis des générations et c’était cela la raison pour qu’ils portaient le nom de "Hoxha"), est connu comme l’un des fondateurs des premiers cercles patriotes du Konispolit et du Filat, comme donateur des premières écoles albanaises dans la région de Çamëri (à Konispol, Filat et Gumenicë), et en tant que dur critique de tout pouvoir, comme celui turc et en suite du pouvoir royal de Zog I.

Au début des années 20, Shefki Hoxha était fameux en tant que démocrate, grand appuyeur de Noli et de son gouvernement réformiste, indépendamment du fait que ses propriétés pouvaient être affectées. C’était bien cela l’une des raisons pour lesquelles il a été mis en prison par le régime de Zogu. Le poète populaire de la région lui chantait:

"Les télégrammes partout partent,/ les gendarmes haussent la garde,/ d’une rébellion ont parlé,/ quand à Tchameri le roi ont nié,/ nier Ahmet, sa majesté./ A Shales ont pris Shefki,/ à Konispol, à Maze Hami/ aussi Xhafo Pandalejmoni, lui"…

Shefki Hoxha est tombé malade dans la prison de Lezhë et il est mort en 1936, a cause des insupportables souffrances de l’emprisonnement.

Le père de Shefki Hysa, Mazar, a été persécuté comme anticommuniste par la dictature, même si leur maison à Shales était une point de référence pour la guerre, une base des partisans. En 1960 Mazar l’ont éloigné de l’éducation, à cause de son frère nationaliste, Sadedin, fusillé sans jugement par les communistes le 13 Novembre de l’année 1943 à l’hôpital des partisans à Theollogos.

Donc, leur famille était impliquée par l’aveugle mécanisme de la guerre des classes, qui a gravement touché même Shefki, après la mort de son père, Mazar, en 1976.

Mazar Hysa, le père de Shefki Hysës, a laissé ce monde avec le goût amer de cette vie dans la bouche. Pourtant Shefki est réussi à survivre, grâce aux gênes ereditaires des aïeuls.

Shefki a suivi ses premières études dans le village de Shalës à Konispol.

Il a commencé le lycée, spécialisation à l’agriculture, en 1972 et a terminé en 1976 à Konispol, région de la Tchamëri. (Le régime communiste de cette période l’a obligé à suivre l’école d’agriculture, et pas le lycée, a cause de sa "mauvaise" biographie, en tant que famille originaire des riches classes anticommunistes et pour le fait que son oncle, Sadedin, était un nationaliste fusillé par le régime).

Après dix ans d’efforts surhumains, en 1985, Shefki est réussi à avoir le droit de suivre les études en littérature à l’Université de Tirana. Grâce a l’insistance de l’écrivain albanais très connu Dritëro Agolli, qui de sa position en tant que Président de l’Union des Écrivains et des Artistes de l’Albanie, et aussi dans d’autres occasions, comme dans le cas lorsqu’au poète Namik Mane lui a été enlevé le droit de publications, a obligé les structures du pouvoir totalitaire de ne pas tenir compte de la biographie de Shefki, afin de lui reconnaître le droit de suivre ses études universitaires.

En 1989 il a été diplômé en langue et littérature à la Faculté de l’Histoire et de la Filologie, à l’ Université de Tirana. Pendant ce temps il continuait a écrire et publier les premiers racontes et de la publicistique.

Donc, enfin à Shefki Hysa lui a été reconnu et estimé son talent de prosateur caractérisée par un remarquable individualité créative. De la même manière s’exprimait la critique au sujet de ses premiers racontes lyriques, très bien accueilli par l’opinion littéraire et les lecteurs.

"Mon cher conteur, avec des étranges observations et des fins sensations; écrivain apprécié toujours par moi et les autres ", et c’est ainsi que s’exprimait Dritëro, enthousiaste du futur littéraire de Shefki et il n’aurait jamais eût une délusion.

Pendant les années 1991-97 il a travaillé comme journaliste au journal "Çamëria" et chef de rédaction dans les journaux "Kombi" e "Dielli".

Entre temps il a suivi plusieurs spécialisations dans le domaine du journalisme, des éditions et des relations publiques et internationales.

Depuis l’année 1997 il continue à travailler dans l’Administration dans le Parlement de l’Albanie.
Il a fondé et continue à diriger l’Association Culturelle "Bilal Xhaferri" et la Maison d’Editions "Bilal Xhaferri".

Il est Secrétaire de l’Union des Écrivains et des Artistes de l’Albanie.
Entre ses publications, il compte "L’oiseau et le diable", racontes (1992), de la maison éditrice "Bilal Xhaferri".

"Otages de la paix", roman (1994), publication de la maison d’éditions "Bilal Xhaferri".
"Le Paradis maudit", roman (1997), publication de la maison d’éditions "Bilal Xhaferri".
"Confessions d’un voleur", racontes (1999), publication de la maison d’éditions "Arbëria".
"Arôme de Tchameri", racontes (2004), publication de la maison d’éditions "Bilal Xhaferri", ISBN 99927-960-1-4

"Les faux merveilles", racontes (2005) publication de la maison d’éditions "Bilal Xhaferri", ISBN 99927-960-0-6

Rédacteur de la nouvelle « La p… digne de respect" (1992), de l’écrivain Jean Paul Sartre.
Rédacteur de la romance "Amour fatale" (1992), de l’écrivain Alfred de Musset.
Rédacteur de la romance "Amour ensanglée (Au-delà des distances)" (1992), de l’écrivain Bilal Xhaferri.

Rédacteur de la romance "Krasta Kraus (Berat a cédé)" (1993), de l’écrivain Bilal Xhaferri.
Rédacteur de la nouvelle "A l’envahissement des vikings" (1993), de l’écrivain Pjetër Arbnori.
Rédacteur de la romance "La belle avec l’ombre" (1994), de l’écrivain Pjetër Arbnori.
Rédacteur du volume poétique "La vigne des larmes" (1995), du poète Namik Mane.
Rédacteur du volume de racontes "Une nuit ordinaire" (2003), de l’auteur Namik Mane.
Rédacteur du roman "Avec nos pattes nous avons parcouru le monde" (2007), de l’écrivain Xhulia Xhekaj, etc., etc., publications et rédactions littéraires et de publicistique crées par lui et d’autres auteurs.

Depuis l’année 1995 il va continuer et diriger dans la qualité de Rédacteur en chef de la revue "L’Aile de l’Aigle", revue politique, culturelle, littéraire et sociale, publiée en 1971, en deux langues, en albanais et en anglais, financée par l’Union Tchame, en Chicago, aux États - Unis.
Son premier fondateur, éditeur et dirigeant était Bilal Xhaferri, poète, prosateur et un très connu publiciste dissident, qui est né le 2 Novembre 1935 à Ninat, à Konispolit, et après une intense activité littéraire et publiciste, est mort en exil (fuyant de l’Albanie en 1969 comme nationaliste anticommuniste) le 14 Octobre 1986 à Chicago, dans les États-Unis.

"L’Aile de l’Aigle" était une tribune de la libre pensée démocratique avec des tendances essentiellement anticommunistes, antidictatoriales et anti-enveristes, qui visée l’union de toutes les forces politiques albanaises en exil, l’unification de la pensée, des programmes et de leurs buts pour une Albanie libre Pro-occidentale.

La revue traitait largement les questions nationales albanaises, surtout le sujet tchame, le problème du Kosova, des autres territoires restées au-dehors des frontières légitimes, de l’Albanie, et aussi les problèmes des communités d’albanais partout dans le monde et dans la Diaspora.

Bilal Xhaferri est réussi à publier 39 éditions.

Depuis l’année 1995 et en suite "L’Aile de l’Aigle" continue a se publier a Tirana, en tant que revue officielle de l’Association Culturelle "Bilal Xhaferri" (La Communité Culturelle de la Tchameri) fondée et dirigée par le journaliste et l’écrivain connu Shefki Hysa, qui a initié le retour en Albanie du corps de Bilal Xhaferri et l’accentuation des extraordinaires valeurs de cette rare personnalité, persécutée et jeté dans l’oubli de la dictature communiste albanaise.
Shefki Hysa, en qualité d’Éditeur et de rédacteur en chef de cette revue mensuelle, avec ses contributions et celles de ses amis, est réussi à publier 80 éditions et continu avec insistance à tenir haut ce piédestal de la libre pensée en tant que suite des idéaux de Bilal Xhaferrit.

Son idéal: la Tchameri et l’Albanie ethnique.

Préparé par: Mariela HOXHA

Thursday, April 3, 2008

Par Ismail Kadaré

Recueil des messages de l’espoir
et de la paix pour Tchameria

Il m’a trop impressionné le recueil avec des récits « Arome Tchamerie » de l’écrivain Shefki Hysa, présenté dans un des émissions de la chaîne Albanaise. Je suis avec intérêt toutes les publications sur Tchameria et chaque fois que Tchameria est évoquée, non plus pour solliciter des disputes au Balkans, comme peut croire quelqu’un, mais si on peut dire, pour apaiser une conscience troublée. C’est pourquoi j’ai dit que m’a attire l’attention le recueil avec des récits « Arome Tchamerie » de cet auteur originaire de Tchameria, livre que j’ai feuilleté attentivement et avec beaucoup de curiosité pour les messages d’espoir et de paix qu’il transmet au lecteur.

C’est pourquoi je dirai que le livre « Arome Tchamerie » est nécessaire, indispensable, moral, comme tous les publications réussites. Comme sont nombreuses les raisons que les Tchams n’oublient pas Tchameri, et on peut imaginer, c’est le droit de tous nous, Tchams et Albanais. En plus c’est un devoir morale, parce que jamais ne peut être oublie une plaie éprouve par milliers et milliers de personnes. Jamais ne peut être oublie un exode, jamais ne peut être oublie le pays de naissance, où se trouve ta maison. On peut seulement témoigner pour se libérer de l’angoisse, comme se témoigne dans le livre « Arome Tchamerie ».

C’est le temps que les Balkans se taris des vieux crimes et un de ces crimes est celui qu’arrive en Tchameri, le drame tchame. Ainsi les Balkans préparera la rue vers l’émancipation. Seulement après ce nettoiement les Balkans peut faire partie de la famille émancipe des peuples européens.

Janvier, 2004

Traduit par: Blerta Llakaj

Wednesday, April 2, 2008

Une nouvelle étape de la création

J'ai devant un manuscrit du nouveau recueil de courtes histoires, « Faux Miracles », par Shefki Hysa. Avant de le lire, je pensais que je trouverais en lui les mêmes éléments de style de la narration, que j'avais trouvé dans ses précédents ouvrages, en particulier dans le recueil avec des courtes histoires « La narration du voleur ». À ce moment-là, ce livre a été le plus distingué pour l'esprit d’un véritable réalisme contemporain, incarnant plusieurs problèmes sociaux et des idées, caractéristique de l'époque. Je me souviens, j'ai été impressionné par le fragment: « Pépère », extrait du roman « Le paradis maudit », qui je considérerais expressionniste, en raison de la profondeur émotionnelle ressentie après sa lecture. Pendant la lecture du « Pépère », une idée frappé mon esprit: le processus d'écriture de Shefki Hysa est sur le point de passer dans une nouvelle étape! Quoi qu'il en soit, je n'étais pas très convaincu…

Alors, j'ai commencé à lire « Faux Miracles», sans réussir à détacher de mon esprit « Pépère ». Ces éléments, disposés dans l'embryon à « Faux Miracles » sont maintenant sur le point de fleurir.

Mais que sont-ils ces rejetons? Je pense qu'ils sont présents dans le mélange du fantastique et grotesque avec l'allégorie qui exprime l'idée indirectement. Laissez-nous prendre en considération le court récit « Faux miracles », qui fait partie du livre portant le même titre. Son idée est que, même si les choses sont belles et précieuses en elles-mêmes, si elles ne servent pas l'humanité, ils sont communs à l'instar de tous les autres. L’héro rêveur pénètre dans un monde magique, dans les bras d'une ravissante jeune fille avec des palais luxueux et une bibliothèque magique. Elle est impatiente d'avoir tous ces miracles, y compris l'amour ainsi, tous pour elle-même et de son amant. C’est ici que naît le conflit. Celui ci est en quelques mots le contenu, qui est révélée au début dans l'esprit psychanalyste: «Quand il a ouvert les yeux, il a vu le soleil frapper le mur en face. Il est temps de se lever, mais il ne voulait pas quitter le lit. Il souffle et a mis ses bras sur les draps. Il se souvenait que la nuit dernière, il a été perplexe de changer quelque chose dans sa vie. Pour faire quelque chose de digne, au profit de l'humanité, mais encore il n’avait saisit quoi.

Il doit penser encore un peu avant de décider de faire l’autre pas. Il avait tant de temps jusqu'à ce deux heures de l'après-midi, quand il aurait commence le travail à l'ancien garage de bus. Il était un ingénieur mécanique.

Il a dû passer par les mêmes choses ces derniers temps: se lever à huit heure, flâner pour chasser le sommeil, puis se laver près à l'ancien lavabo crénelé au coin de la porte, peigner les cheveux au délavée miroir cloué contre une des portes de la garde-robe, s'habiller et sortir. " Ces psychanalyse se révèle peu à peu pour dépeindre le caractère réaliste fantasmagorique:

«Il s’assoupit dans diverses pensées, jusqu'à ce que a l'angle de la route, qui laisse derrière la zone habitée, se voit la jeune fille, la lycéenne avec son école uniforme noir et col blanc, qui lui suscité la nostalgie des oiseaux migrateurs, les hirondelles, peut-être parce qu'elle fait aller-retour chaque jour du village en ville, ou suivait le lycée, et vice versa. Avec son coeur battant, il ralentit le pas et attendait qu'elle lui passe a côte. Il pourrait le sentir dans toutes les cellules de son corps l’approche de la fille, son rythme cardiaque inconsciemment se fond avec son troc de biche. Il pouvait à peine respirer dans ces moments, son dos est tremblant et sa nuque se refroidît par la sueur. Il pouvait sentir aussi son souffle troublé dans un de ses oreilles, mais il n'osé pas faire un demi-tour. Il pouvait sentir une voix intérieure invitant à lui parler, mais ils ne se sont jamais salue jusqu'à présent. "

Alors, peu à peu, en découvrant figurativement le caractère du personnage, le récit se transforme en un symbole. Et bien que dans cette histoire nous avons à faire avec un symbole, dans l'autre "Les ânes" on se trouve devant au grotesque, avec l’aide de la quelle se fouette le royaume des incapables mêlée avec la servilité. Les personnes incapables, les ânes, vivent heureux grâce à l'habileté des autres, phénomène bien connue de tous les temps. Même ici, l'auteur ne sauter pas la psychanalyse et le paradoxe avec le grotesque mélangés avec le sarcasme et la satire contemporaine. Les éléments de la métamorphoses nous rappellent le roman d’Apulie, le célèbre écrivain latin "Métamorphoses ou l'âne d'or», qui malheureusement n'est pas encore traduit en albanais.

Dans son court récit "L'âne", l'auteur écrit:

"Étrangement, chaque nuit, il rêvait de lui-même transformé en âne. Néanmoins, même si son être pourrait entrer dans la peau de cet animal, il ne pourrait jamais le croire. Comment une telle chose pourrait être croyable?!....Il était le Numéro Un du Personnel Présidentiel…Il pouvait dire que c'était juste après le Président dans un degré hiérarchique. Tout le monde craint lui plus que Son Excellence, le Président lui-même. Non! Rrapush ne pourra jamais être et ne pourrait jamais se transformer en un animaux à quatre pattes malgré cet étrange sentiment que l’enlevé la nuit et le lance dans le monde des rêves, sous la forme d’un âne… "

Ce n'est pas le cas pour entrer une note d'analyse sur le recueil "Faux miracles", parce que cela demandera du temps. C'est pourquoi j’ai mentionne que quelques une courtes histoires, typique du niveau réel de l'œuvre de Shefki Hysa. Mais je ne peux laisser sans mentionner l’étrange récit : «Le chef de village", qui conteste la gourmandise et voracité. Je dirais, les traits de l'expressionnisme sont plus évidents que dans n'importe quel autre récit, n’en laissant pas de côté le paradoxe et le grotesque ou la fantasmagorie, tous mélangés dans le réalisme. Le récit évoque figurativement la corruption et la dégénérescence de la société grâce à une dynamique cinématographique étonnant. Chaque mot ici est lisible et évident. Dans ces quelques lignes, je voudrais aussi mentionner le récit "La magie" qui appartient au genre de courts récits dont j’ai parle au dessus, mais diffère dans l'angoisse qu’il transmet et la crainte de ne pas devenir une calamité écrite:

«Oh, je sais que vous m'appeliez fou, suggestionne, fasciné, délirant infernal dans le motif d'un rêve effrayant, ou quoi que ce soit l’épithète que vous souhaitez ajouter, lorsque je mentionne la magie. Votre job, néanmoins, ou autrement de la réalité vivante, le résultat de sa violence, c'est moi. Me regardant de près, on réalisera à la transfiguration de mon être immédiatement. Par conséquent, à mon mal rasé maigre visage, avec le nez et les lèvres enflé et sanglant, les pommettes pustuleux, traces d’ongles et dents de bêtes, boueux cheveux, devient rare creusé dans le front agrandi et ridé en raison de l'abri de la peur profondément à l'intérieur du crâne, en décrivant plus en plus clairement. Il suffit de regarder mon corps engourdi et le froid! Donc… ne vous sentez-vous la peur, la douleur, la pitié, le dégoût, la raillerie, ou n'importe quoi d'autre, en raison de la façon dont je ressemble? … ».

Comme je l'ai mentionné plus haut, le niveau réel du processus d'écriture du narrateur Shefki Hysa est perçu par les traits expressionnistes. Mais si nous sommes permis de le dire, très amicalement que nous aimerions voir caché cette tendance de temps en temps et quelque fois de ne pas sortir intentionnellement ouvert. Il est clair que le début de l'expressionnisme en dépit de la tendance de l'idée cachée en elle, il a également été distingué pour le pathos de la «catastrophe et du cri". Le nouvel expressionnisme devrait être différent, et je suis convaincu que Shefki Hysa est conscient de cela, parce que ses histoires sont caractérisés par l'esprit national, et de l'esprit ingénieux de tcham, quelque fois inquiets et toujours a la recherche et a la découverte, car il connait bien le livre de la vie et celui de la bibliothèque.

Dritëro Agolli

Juillet 2003

Traduit par: Blerta Llakaj