Pandeli Koçi
Mes vrais amis et ceux de Bilal Xhaferi, notamment Pandeli Koci m’ont incité à se consacrer entièrement à cette initiative. Pandeli était en même temps mon ami et mon professeur de la littérature de Kosovo auprès de la Faculté d’Histoire pendant 1985-1992. A cette époque, je faisais mes études de Langue et Littérature Albanaise à l’Université de Tirana.
Qui est cet ami?
Pandeli Koci (Sazan Goliku son pseudonyme littéraire) est né à Vlora le 6 janvier 1942. Après avoir fini le collège à Vlora il a suivi les études supérieures de langue et littérature à l’Université de Tirana, à la Faculté d’Histoire et Philologie . Il a aussi suivi des formations en matière de journalisme et des publications. Il a travaillé comme enseignant, employé de culture, journaliste et rédacteur auprès de la maison d’édition Naim Frasheri et ailleurs.
Depuis 1970 il s’est occupéde la publication de le littérature albanaise au Kosovo et a été lecteur de cette littérature auprès de l’Université de Tirana. De 1981 à 2002 a travaillé dans la presse de l’Assemblée de la République d’Albanie.
Il écrit en prose, poésie publicistique surtout dans la revue « L’aile de l’aigle ». Il écrit également pour les enfants et des textes de chansons. Il est aussi critique littéraire, esseiste, et a gagné quelques prix littéraires nationaux
Ses principaux œuvres sont :
« Les Aventures de la liberté », récits 1995
« Epidemie cosmique », poésie, 1996
« Rêve d’amour » , poésies 1996
« Les combattant du Mont Blanc », roman 1999
« Pétales tombées », poésie 2001
« Aventures matinales » poème, 2002
« Le triangle du ciel noir », récits, 2006
« Trouble », poésie 2007
En tant que publiciste, écrivain et critique littéraire, Pandeli depuis que j’ai fait sa connaissance au début des années 80 et jusqu'à sa retraite en 2002, a été un ardent favori de l’oeuvre de Bilal Xhaferi et du problème des tchames. Dès le début de notre connaissance il m’a beaucoup aidé , à cette époque difficile de régime communiste ou personne ne me faisait compagnie à cause de mes idées anticommunistes. Je lui suis reconnaissant pour tout ce qu’il a fait pour moi, pour le courage qu’il m’a donné après les années 90, pour s’occuper de la figure de Bilal Xhaferi et de la question de Camerie. Mon ami Pandeli Koci contribue comme un patriote à ce que l’idéal des tchames devienne réalité et il mérite le respect de la part d’eux.
Traduit par Adriana Koxhaj
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